La semaine dernière, le Sénat a voté le projet de loi adopté quelques jours plus tôt à l’Assemblée Nationale, relatif à la représentation des Français établis hors de France. Ainsi, à partir de 2014, l’Assemblée des Français de l’Etranger (AFE), rassemblant les élus locaux et constituant le collège électoral des sénateurs des Français établis hors de France, sera profondément rénovée. Cette réforme a été complexe à mettre en forme, avec des consensus parfois difficiles à trouver, mais elle est sans aucun doute un grand pas dans la bonne direction, un premier pas qui en appelle d’autres. Avec cette réforme, des avancées très positives vont permettre de renforcer la représentation démocratique des Français de l’étranger. Voici les points forts de cette loi…. Lire la suite
Cette phrase est mise par Joan Sfar, dessinateur caricaturiste, dans la bouche de Christophe Barbier , directeur de l’Express. Elle sert de conclusion, et de chute, à un article de Marianne, du Samedi 29 Juin 2013, Les bons apôtres du « Hollande bashing », dû à François Loncle , député SRC de la 4éme circonscription de l’Eure. Les bons apôtres du « Hollande bashing » François Loncle* | Samedi 29 Juin 2013 Le dénigrement systématique du président de la République, baptisé le « Hollande bashing », fait rage dans les magazines. Mais que cache cette charge qui tourne à la chasse à l’homme ? Le « Hollande bashing » devient la spécialité des hebdomadaires. Le Point a ouvert les hostilités… dès le 17 mai 2012 ! D’autres newsmagazines ont à leur tour entonné l’air de la Calomnie. Ce lynchage est d’autant plus méprisable que l’intéressé ne peut pas répondre, au risque sinon d’être accusé d’attenter à la sacro-sainte liberté de la presse. La critique par les médias de l’action présidentielle est en démocratie un droit légitime à une condition : que ce débat se déroule dans la décence et le respect. Or, ces hebdomadaires ont remplacé l’analyse par la médisance, l’investigation par le clabaudage. Les journalistes ne sont plus des rédacteurs mais des détracteurs, plus des enquêteurs mais des procureurs. Dans cette course à l’échalote, le Point, qui appartient à François Pinault, l’un des invités du Fouquet’s, a sonné l’hallali, le directeur de la publication, Franz-Olivier Giesbert, se réjouissant « d’avoir un
Pôle emploi tenait un stand au forum d’affaires France-Vietnam, organisé début avril dans un grand hôtel d’Hô Chi Minh-Ville. Crédits photo : DR Loin de ses bases, l’organisme public va chercher des opportunités pour des candidats à l’expatriation de plus en plus nombreux. Mais que faisaitPôle emploi au forum d’affaires France-Vietnam, organisé début avril par l’agence pour le développement international Ubifrance, dans un grand hôtel d’Hô Chi Minh- Ville? Deux émissaires du service public y tenaient même un mini stand au milieu des cabinets d’avocats, sociétés de logistique et autres conseils en financement. L’objectif était de rencontrer des PME françaises ayant des projets d’implantation ou des entreprises locales. Au Vietnam, des groupes spécialisés dans la construction, l’énergie, la santé ou le high-tech cherchent régulièrement des ingénieurs, des techniciens ou des commerciaux expérimentés. Des compétences qu’ils ne parviennent pas à trouver facilement sur place. 400 contrats décrochés en 2012 Cela tombe bien: Pôle emploi constate depuis un ou deux ans un afflux croissant de candidats pour des postes dans le Sud-Est asiatique, comme à Singapour, en Indonésie ou au Vietnam. «Alors que l’horizon est bouché en France, cette zone présente des perspectives de croissance favorables et elle paraît plus sûre que d’autres régions du monde», explique Roxane Bena, au département mobilité et placement international de Pôle emploi. L’an passé, l’organisme public a ainsi casé 400 candidats en Asie. Pas encore un raz de marée mais «ce chiffre augmente chaque année», affirme la responsable. Lire la suite.
Le ministre des Affaires Étrangères était à Hong Kong pour l’inauguration du French May. L’ancien Premier ministre a réservé un entretien à Aujourd’hui la Chine. 07/05/2013 | Philippe Dova (Aujourd’hui la Chine). Quel était l’objet de votre venue à Hong Kong et quel est le bilan de votre visite ? Un bilan très positif après ces deux journées extrêmement bien remplies ! Il y avait plusieurs objets à ma visite. Un objet culturel avec l’inauguration du French May et de la superbe exposition consacrée à Jean Cocteau. C’est un événement culturel très important qui a drainé l’année dernière plus de 300 000 personnes. J’ai également remis les insignes de commandeur des Arts et Lettres au grand réalisateur Hongkongais Wong Kar-Wai. Sur le plan politique j’ai eu un très bon contact avec le Chief Executif de Hong Kong et les membres du gouvernement. Nous avons signé une convention d’échanges « Vacances-Travail » qui permettra à partir du 1er juillet prochain aux jeunes Hongkongais et aux jeunes Français d’avoir à la fois des activités de loisir et de financer leurs études. Lire la suite Source Philippe Dova Aujourd’hui la Chine
Elue sénatrice (PS) des Français établis hors de France en 2008, Claudine Lepage est secrétaire de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication. Elle est également membre de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes. En visite à Bangkok les 18 et 19 avril derniers, elle a bien voulu répondre aux questions du PetitJournal.com LePetitJournal.com : Que pouvez-vous nous dire sur votre visite en Thaïlande ? Claudine Lepage : Cette visite de deux jours m’a permis de rencontrer différentes composantes de la communauté française établie en Thaïlande. J’ai notamment visité le Lycée Français, où j’ai pu m’entretenir avec le directeur du primaire et la directrice thaïlandaise. Je n’ai malheureusement pas pu rencontrer les élèves qui étaient en vacances scolaires. Lors de ces rencontres, le projet immobilier de l’école de Bangkok m’a été présenté. Etant donné l’augmentation continue du nombre d’élèves, ce projet me parait vital pour l’avenir de l’établissement. J’ai également rencontré les opérateurs économiques, (CCE, CCFT, et le représentant de la mission économique) ainsi que des entrepreneurs. Cela m’a permis de confirmer ce que l’on dit en France : la Thaïlande est un pays dynamique qui offre de réelles opportunités à condition, bien entendu, d’avoir un projet viable sur le plan économique. Il est, en effet, déconseillé de venir s’installer en Thaïlande, comme dans d’autres pays émergents, sans préparation et sans avoir connaissance des
A regarder les flux d’investissements qui viennent irriguer les entreprises françaises et ceux émis par les français à l’étranger, il semblerait qu’il n’y ait guère que la France qui soit persuadée de sa nullité économique. Les investissements d’un pays sont révélateurs de sa situation économique mais aussi de l’état d’esprit de ses habitants. D’un coté, les investissements entrants sont révélateurs de l’attractivité du pays tandis que de l’autre, les investissements particuliers et son pendant, l’épargne, sont symptomatiques de la confiance des Français dans leur avenir. La France reste attractive aux yeux des investisseurs Selon le dernier recensement réalisé par l’Agence Française pour les investissements internationaux (AFII), la France est restée attractive pour les investisseurs étrangers en 2012, avec 693 nouvelles décisions d’investissements créateurs d’emplois. Ce chiffre équivaut à celui de 2011 (698) et l’on peut dire que c’est l’un des trois meilleurs depuis quinze ans. Une situation encourageante et Pierre Moscovici ne veut pas s’arrêter là : « La destination France continue d’attirer les investisseurs étrangers et nous voulons aller encore plus loin. Le gouvernement s’est fixé pour objectif d’atteindre, chaque année, 1 000 décisions d’investissements d’ici à 2017, et l’accueil de 300 entreprises non encore implantées sur le territoire. La France doit rester une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. » lire la suite Source: économie matin. 22 Avril 2013. Armand Venerei