Pôle emploi tenait un stand au forum d’affaires France-Vietnam, organisé début avril dans un grand hôtel d’Hô Chi Minh-Ville. Crédits photo : DR Loin de ses bases, l’organisme public va chercher des opportunités pour des candidats à l’expatriation de plus en plus nombreux. Mais que faisaitPôle emploi au forum d’affaires France-Vietnam, organisé début avril par l’agence pour le développement international Ubifrance, dans un grand hôtel d’Hô Chi Minh- Ville? Deux émissaires du service public y tenaient même un mini stand au milieu des cabinets d’avocats, sociétés de logistique et autres conseils en financement. L’objectif était de rencontrer des PME françaises ayant des projets d’implantation ou des entreprises locales. Au Vietnam, des groupes spécialisés dans la construction, l’énergie, la santé ou le high-tech cherchent régulièrement des ingénieurs, des techniciens ou des commerciaux expérimentés. Des compétences qu’ils ne parviennent pas à trouver facilement sur place. 400 contrats décrochés en 2012 Cela tombe bien: Pôle emploi constate depuis un ou deux ans un afflux croissant de candidats pour des postes dans le Sud-Est asiatique, comme à Singapour, en Indonésie ou au Vietnam. «Alors que l’horizon est bouché en France, cette zone présente des perspectives de croissance favorables et elle paraît plus sûre que d’autres régions du monde», explique Roxane Bena, au département mobilité et placement international de Pôle emploi. L’an passé, l’organisme public a ainsi casé 400 candidats en Asie. Pas encore un raz de marée mais «ce chiffre augmente chaque année», affirme la responsable. Lire la suite.
Le ministre des Affaires Étrangères était à Hong Kong pour l’inauguration du French May. L’ancien Premier ministre a réservé un entretien à Aujourd’hui la Chine. 07/05/2013 | Philippe Dova (Aujourd’hui la Chine). Quel était l’objet de votre venue à Hong Kong et quel est le bilan de votre visite ? Un bilan très positif après ces deux journées extrêmement bien remplies ! Il y avait plusieurs objets à ma visite. Un objet culturel avec l’inauguration du French May et de la superbe exposition consacrée à Jean Cocteau. C’est un événement culturel très important qui a drainé l’année dernière plus de 300 000 personnes. J’ai également remis les insignes de commandeur des Arts et Lettres au grand réalisateur Hongkongais Wong Kar-Wai. Sur le plan politique j’ai eu un très bon contact avec le Chief Executif de Hong Kong et les membres du gouvernement. Nous avons signé une convention d’échanges « Vacances-Travail » qui permettra à partir du 1er juillet prochain aux jeunes Hongkongais et aux jeunes Français d’avoir à la fois des activités de loisir et de financer leurs études. Lire la suite Source Philippe Dova Aujourd’hui la Chine
Elue sénatrice (PS) des Français établis hors de France en 2008, Claudine Lepage est secrétaire de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication. Elle est également membre de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes. En visite à Bangkok les 18 et 19 avril derniers, elle a bien voulu répondre aux questions du PetitJournal.com LePetitJournal.com : Que pouvez-vous nous dire sur votre visite en Thaïlande ? Claudine Lepage : Cette visite de deux jours m’a permis de rencontrer différentes composantes de la communauté française établie en Thaïlande. J’ai notamment visité le Lycée Français, où j’ai pu m’entretenir avec le directeur du primaire et la directrice thaïlandaise. Je n’ai malheureusement pas pu rencontrer les élèves qui étaient en vacances scolaires. Lors de ces rencontres, le projet immobilier de l’école de Bangkok m’a été présenté. Etant donné l’augmentation continue du nombre d’élèves, ce projet me parait vital pour l’avenir de l’établissement. J’ai également rencontré les opérateurs économiques, (CCE, CCFT, et le représentant de la mission économique) ainsi que des entrepreneurs. Cela m’a permis de confirmer ce que l’on dit en France : la Thaïlande est un pays dynamique qui offre de réelles opportunités à condition, bien entendu, d’avoir un projet viable sur le plan économique. Il est, en effet, déconseillé de venir s’installer en Thaïlande, comme dans d’autres pays émergents, sans préparation et sans avoir connaissance des
A regarder les flux d’investissements qui viennent irriguer les entreprises françaises et ceux émis par les français à l’étranger, il semblerait qu’il n’y ait guère que la France qui soit persuadée de sa nullité économique. Les investissements d’un pays sont révélateurs de sa situation économique mais aussi de l’état d’esprit de ses habitants. D’un coté, les investissements entrants sont révélateurs de l’attractivité du pays tandis que de l’autre, les investissements particuliers et son pendant, l’épargne, sont symptomatiques de la confiance des Français dans leur avenir. La France reste attractive aux yeux des investisseurs Selon le dernier recensement réalisé par l’Agence Française pour les investissements internationaux (AFII), la France est restée attractive pour les investisseurs étrangers en 2012, avec 693 nouvelles décisions d’investissements créateurs d’emplois. Ce chiffre équivaut à celui de 2011 (698) et l’on peut dire que c’est l’un des trois meilleurs depuis quinze ans. Une situation encourageante et Pierre Moscovici ne veut pas s’arrêter là : « La destination France continue d’attirer les investisseurs étrangers et nous voulons aller encore plus loin. Le gouvernement s’est fixé pour objectif d’atteindre, chaque année, 1 000 décisions d’investissements d’ici à 2017, et l’accueil de 300 entreprises non encore implantées sur le territoire. La France doit rester une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. » lire la suite Source: économie matin. 22 Avril 2013. Armand Venerei
Claudine Lepage : « Les déplacements à l’étranger nourrissent le travail et la réflexion parlementaire. » Elue sénatrice (PS) des Français établis hors de France en 2008, Claudine Lepage est secrétaire de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication. Elle est également membre de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes. Nous l’avons rencontrée lors de son voyage à Singapour. Lepetitjournal.com – Quel est le but de votre visite à Singapour ? Claudine Lepage- En tant que représentante des Français établis hors de France, mon travail consiste à siéger au Sénat comme tous les sénateurs et à voyager pour rencontrer les communautés françaises établies à l’étranger. Jusqu’à présent, je me suis peu déplacée sur le continent asiatique et je découvre ainsi Singapour, un modèle sur le plan économique bien différent de l’Europe. D’ailleurs, la communauté française ne cesse d’augmenter dépassant les 10.500 inscrits sur le registre consulaire. Lors de mes déplacements à l’étranger, je me tiens à la disposition des Français avec lesquels nous échangeons et je rencontre également les représentants de la communauté française tant sur le plan culturel qu’économique et éducatif. Bangkok sera ma prochaine étape. Lire la suite Source: Carole Chomat le Petit Journal édition de Singapour jeudi 18 Avril 2013
Passeport Grand Voyageur : enfin disponible… Cela fait tellement de temps qu’on en parle que l’on n’y croyait plus ! La date choisie pour sa mise effective en service : début Avril ne pouvait également que prêter à sourire ! Mais ce n’était pas un poisson d’Avril, depuis le 2 Avril ces passeports de 48 Pages au lieu de 32 sont désormais disponibles dans les consulats. Sur : Service Public.fr « A compter du 2 avril 2013, les personnes qui voyagent souvent à l’étranger peuvent faire la demande d’un passeport « grand voyageur ». Le passeport format « grand voyageur » est un passeport biométrique qui ne diffère du passeport classique que sur deux points : • le nombre de pages (48 au lieu de 32), • l’image de fond des pages. Le passeport grand voyageur est destiné aux personnes qui se déplacent souvent à l’étranger (en particulier hors de l’espace Schengen) et risquent de devoir demander le renouvellement anticipé de leur passeport lorsque toutes les pages auront été utilisées par l’apposition de visas et cachets d’entrée ou de sortie du territoire. Les pièces justificatives exigées pour un passeport classique le sont également pour ce passeport « grand voyageur ». Il est demandé de fournir en plus une demande motivée rédigée sur papier libre. Les modalités de délivrance sont par ailleurs identiques. La décision de délivrer un passeport « grand voyageur » relève des autorités préfectorales, ou consulaires et peut être refusée si elle ne leur apparaît pas justifiée. »
Quelle place pour les expatriés français dans le commerce extérieur de leur propre pays ? C’est la question que nous avons posée à la ministre du Commerce extérieur français, Nicole Bricq. Entre la création de la « Marque France » et les nombreux autres projets du ministère, les entrepreneurs français établis hors des frontières paraissent être de véritables relais de la diplomatie économique. Hervé Heyraud, président du site lepetitjournal.com : Nous aimerions avoir votre point de vue et votre opinion sur le commerce extérieur qui passe par l’expatriation par la présence de Français à l’étranger. Nicole Bricq, ministre du commerce extérieur français : Lors de mes déplacements, j’ai pu constater que le public a profondément changé. Par rapport à la vision que l’on pouvait avoir de par le passé, l’horizon est aujourd’hui fait de jeunes, de petites et moyennes entreprises (PME). Ainsi, les Français font de plus en plus leur carrière à l’étranger. Ces individus restent très attachés à la mère patrie, mais ils font leur carrière à l’étranger alors même que le terme expatrié était souvent associé aux missions temporaires. Maintenant, le terme correspond beaucoup plus à un état d’esprit de conquête, d’implantation. Ce n’est plus le même public, et leur mission a changé. Lire la suite…. Source et photo: Le Petit Journal édition du 21 Mars