L’humble André Salvat, héros de la Libération mort le 9 février, était grand officier de la Légion d’honneur, mais n’est jamais devenu grand-croix, à la différence de certains « usurpateurs ». Son authentique héroïsme méritait bien un petit « In memoriam ». LE MONDE | 13.02.2017 à 06h42 • Mis à jour le 13.02.2017 à 11h43 | Par Benoît Hopquin André Salvat est mort jeudi dernier à Perpignan. Pipe cassée, chandelle mouchée, à l’âge méritoire de 96 ans. A bout de souffle, à bout de vie, à bout d’envie, sans doute, il s’est éteint comme on s’esquive, sur la pointe des pieds. André Salvat ? Ne cherchez pas. Un inconnu, un anonyme, défunt d’entre les défunts. Un simple acte de décès parmi tant d’autres, en cette date du 9 février 2017. Quelle injustice ! Le vieil homme, le vieux soldat parti sans tambour ni trompette, avait œuvré plus que son dû pour ce pays indifférent. Avant de mettre l’arme au pied, au repos pour de bon, pour de vrai, avant de s’en revenir mourir en une dernière fidélité dans ces Pyrénées-Orientales qui l’avaient vu naître, le baroudeur avait été de bien des champs de bataille de nos livres d’histoire. Parmi les premiers à rejoindre les rangs gaullistes dès 1940, il avait participé en juin 1942 à la défense de Bir Hakeim, ce puits tari du désert libyen, où la France retrouva un peu de son honneur perdu dans la débâcle.
Le résultat des ateliers thématiques Depuis le mois de décembre, 20 000 personnes ont participé à 2 000 ateliers thématiques organisés par les comités locaux partout en France, et même à l’étranger. Éducation, travail, santé, Europe, solidarité, vie démocratique, environnement : autant de sujets centraux dans le projet que nous portons, et autant d’occasions d’ouvrir le débat ! C’est grâce à ces consultations collectives que nous pouvons faire émerger des idées qui nous rassemblent. Découvrez ici le résultat de plus de 2 000 heures de discussion consacrées à l’éducation, au travail, à la santé et à l’Europe :
« S’il y a une seule raison de voter Macron, c’est son engagement pour l’Europe », plaide Richard Yung, sénateur des Français de l’étranger, sur son site, dans un article intitulé « Macron, yes we can!« . Il annonce clairement son soutien à Émmanuel Macron, persuadé que le parti socialiste (PS) et les autres partis politiques sont « des structures dépassées qui ne génèrent plus d’idées ». C’est également vers le centre que le parlementaire veut se tourner: « Le salut ne viendra pas des chicayas entre le PC et Mélenchon, ni des restes des partis écologistes balkanisés. N’ayant pas de possibilité d’alliance à gauche, il nous faut rassembler vers le centre. » Il est suivi dans son choix par Marc Villard, président de l’Assemblée des Français de l’étranger (AFE). Le conseiller AFE croit que l’ancien ministre de l’économie peut parvenir au second tour et éviter un affrontement Fillon-Le Pen. Sur le plan des idées, le président de l’AFE précise: « J’apprécie son réalisme économique qui n’exclut pas la prise en compte des problèmes sociaux, son engagement européen, sa vision de la laïcité. » Nathalie Simon-Clerc Source: http://loutardeliberee.com/richard-yung-marc-villard-choisissent-macron/
Comme nombre d’entre vous j’ai observé le parcours d’Emmanuel Macron et la création de ‘’En Marche’’ , d’abord avec curiosité puis avec attention et un véritable intérêt au point que j’ai décidé, il y a quelques mois d’adhérer à ‘’En Marche’’. Rapidement j’ai été convaincu qu’Emmanuel Macron était certainement le seul candidat à pouvoir être présent au second tour et à nous éviter le face à face Fillon-Le Pen. Les trois débats de la primaire des candidats de la Belle Alliance n’ont fait que me le confirmer. J’apprécie son réalisme économique qui n’exclut pas la prise en compte des problèmes sociaux, son engagement européen, sa vision de la laïcité. C’est pourquoi je soutiens aujourd’hui la campagne d’Emmanuel Macron ! Marc Villard
Alors que le début de l’année est traditionnellement une période de joie et d’espérance marquée par l’échange de vœux de santé et de bonheur, c’est hélas dans la violence que débute l’année 2017. C’est donc tout d’abord vers les victimes des attentats et leurs proches que se tournent mes pensées pour leur souhaiter courage et force dans ces épreuves. Dans ce climat de violence et d’intolérance nos vœux paraissent bien fragiles, mais ce n’est pas une raison pour cesser d’espérer, aussi je vous souhaite à tous une excellente année 2017, où, je l’espère, chacun d’entre nous œuvrera pour plus de tolérance et de fraternité Bonne année !
Mme Valérie RABAULT, députée et rapporteure générale à l’Assemblée Nationale de la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire, répondant à une question de M. Frédéric Lefebvre concernant la fiscalité des Français résidant à l’étranger, parle de son audition devant la Commission des finances, du budget et de la fiscalité de l’AFE, qui depuis plusieurs années travaille sur ce sujet.
Certains le découvrent trop tard. Vos déplacements internationaux peuvent vous faire perdre la maîtrise de votre régime matrimonial, s’il n’est pas « fixé » juridiquement. Premier rappel : avec ou sans contrat de mariage, dès lors que vous êtes mariés, vous êtes soumis à un régime matrimonial. Ce cadre juridique régit vos rapports réciproques et avec les tiers, notamment vos créanciers. En France, le régime des couples mariés sans contrat est celui de la communauté réduite aux acquêts. Ailleurs dans le monde, le régime « par défaut » varie : séparation de biens, régime communautaire, voire régime édicté par une loi religieuse. Or les couples d’expatriés peuvent se trouver soumis malgré eux au régime légal (sans contrat) de leur pays de résidence. Le droit international privé prévoit que si les époux n’ont pas désigné la loi applicable à leur régime matrimonial, c’est celle du pays de leur première résidence habituelle qui s’applique. Prenons l’exemple de Français résidant à Londres qui se marient sans contrat lors d’un séjour en France. Ils sont soumis au régime anglais de séparation de biens, peut-être sans en avoir conscience. lire la suite Ici la fiche pratique du site Notaires de France Source: Le Petit Journal et Notaires de France
La réforme du prélèvement de l’impôt à la source permettra de faire coïncider au plus près les revenus perçus et les impôts dus. Le Gouvernement a précisé, le 1er août 2016, les modalités qui permettront de la mettre en oeuvre dès 2018, qui seront intégrées au PLF 2017. C’est une réforme qui protège les Français : elle les met à l’abri de tous les changements de situation (chômage, retraite, naissance, baisse de salaire…), parfois imprévisibles, et elle leur rend de la trésorerie, tout en préservant la confidentialité de l’impôt. UN IMPÔT QUI S’ADAPTE À LA VIE DES CONTRIBUABLES Aujourd’hui, le contribuable paye l’impôt sur ses revenus de l’année précédente. Demain, le contribuable paiera l’impôt sur ses revenus de l’année en cours. Le prélèvement à la source permet en effet de faire coïncider au plus près les revenus perçus et les impôts dus : c’est le système le plus avantageux en termes de trésorerie. C’est aussi ce qui le différencie de la simple mensualisation de l’impôt. C’est plus de progrès pour les contribuables, c’est plus de fluidité et de réactivité par rapport aux changements de situation. Christian Eckert Le 1er août 2016 Ce qui change : Un individu qui part à la retraite s’acquittera désormais de son impôt sur ses pensions de retraite et non sur les revenus de l’année précédente. L’impôt s’adapte immédiatement. L’impôt sera désormais étalé sur 12 mois, représentant un gain en trésorerie : un contribuable qui paie 1 200 euros d’impôt par an paiera dorénavant
Vietnam, pourquoi rester en infraction alors qu’il est si simple d’obtenir un permis vietnamien à partir de son permis français ?